Liessies-Felleries
Musée du Sanatorium
Les Musées de l'Avesnois

Musée du Sanatorium et de l'Hôpital départemental
de Felleries-Liessies

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, entrée du musée.
Le musée est situé à l'entrée du domaine dans l’ancienne maison de la standardiste.

Le Sanatorium de Fellerie-Liessies est situé dans l’Avesnois, à proximité du village de Liessies, lieu de pèlerinage où, depuis Ste-Hiltrude au IXe Siècle, les malades sont venus de tous temps soigner la « maladie de consomption ». Le site aux confins de la vallée de l’Helpe Majeure, est agréable et reposant. L’épaisse sylve ardennaise y cède encore le pas aux herbages pour donner au paysage cet aspect de bocage vallonné qui confère à la région son surnom de « Petite Suisse du Nord ». Le climat, au croisement des influences continentale et maritime est rude et tonifiant. L’air très pur et chargé des senteurs de la forêt proche, convient très bien aux tuberculeux pulmonaires. La propriété, d’une superficie de 100 ha, situé à une altitude de 240 m., affecte la forme d’un large cirque boisé dont une échancrure permet d’apercevoir au Sud les crêtes de la forêt de Trélon.

Le musée du CHFL retrace l’Histoire de l’ancien sanatorium départemental de Felleries-Liessies, créé en 1933 pour prendre en charge les patients atteints de la tuberculose. Situé dans l’ancienne maison de la standardiste, ce musée permet l’exposition de nombreux documents et matériel d’époque, glanés par Marcien Coulleit, ancien agent de l’hôpital et créateur de ce lieu d’Histoire. Les différentes reconstitutions qui y sont proposées (chambre, espace repas…) permettent aux visiteurs de se replonger dans l’histoire de ce site, devenu aujourd’hui, l’un des plus importants centres hospitaliers de rééducation de la région.

Le musée est ouvert chaque 2e et dernier samedi du mois, de 13h30 à 18h.
Visite en groupe (à partir de 5 personnes) possible sur rendez-vous, même en dehors des créneaux d’ouverture habituels.
Accès libre et gratuit.
Tél: 03.27.56.72.81
07.85.40.30.97
Rue Roger Salengro
Coordonnées GPS :
N50.136318 E4.083198

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, entrée du sanatorium
L'entrée du sanatorium.


Trois vues aériennes datées du 15 avril 1934 prises sous des angles différents.
Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, vue aérienne.
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Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, vue aérienne.
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Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, vue aérienne.
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Un peu d'Histoire

1927
C’est pour répondre à une obligation de la loi Honorat sur le traitement de la tuberculose que le
Département du Nord décide de construire un Sanatorium. Un timbre antituberculeux fait l’objet
d’une campagne afin d’obtenir des fonds pour lutter contre la maladie de la tuberculose
en ouvrant de nouveaux sanatoriums et en recherchant des traitements.

1929
18 mai: a la suite de l'étude et de l'approbation par le conseil Général, les plans du sanatorium dressés
par M. Gaillard architecte départemental, sont envoyés au Ministère de l'Hygiène.
Ils reviennent avec une approbation complète accompagnée de félicitations.
Les travaux commenceront le 12 octobre.
23 novembre, il est convenu que le futur Sanatorium s'appellera Sanatorium Départemental de Felleries-Liessies.
L’établissement est un des plus vastes de France puisqu’il a été construit dans un parc de 98 hectares.

1930
Le coût des dépenses de construction s'élève à 32 millions d'anciens francs.
Un crédit de 20 millions est voté et aussitôt, on se met en devoir de construire le Sanatorium.
Quelques 300 ouvriers seront employés sur le chantier.
Les constructions sont revêtues de ce que l'on appelle l'enduit tyrolien. C'est un mélange de gravier et de ciment qui lui donne un aspect un peu rocailleux et qui protège les murs de l'humidité.
Les galeries de cure laissant pénétrer totalement l'air et la lumière sont construites de chaque côté des pavillons.

1931
Construction du Sanatorium. Il comporte 3 corps de bâtiment:
deux pavillons (A et B) de 150 lits pour les hommes et
un pavillon (C) de 200 lits pour les femmes.
Chaque pavillon est autonome, les chambres ont 3 lits ou 1 lit pour les contagieux et les galeries de cure sont exposées plein sud pour profiter d'un ensoleillement maximum. Le Sanatorium accepte les malades à partir de quatorze, quinze ans.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, travaux.
Les soubassements et la dalle sont en voie d'achèvement.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, travaux
Autre vue du chantier.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, passerelle.
La passerelle.
Le bâtiment des hommes est séparé de celui des femmes par un ravin assez profond.
L'entrepreneur y a construit une impressionnante passerelle de bois pour transporter les matériaux par wagonnet.
Le coût de cette passerelle faite de chevrons et de bastaings boulonnés est de 100 000 anciens francs.

1932
Les travaux d'aménagement intérieur commencent le 04 septembre et les matériels nécessaires sont commandés.
L'eau courante est fournie tiède.
Les chambres des malades sont aménagées à l'étage et celles du personnel le sont au rez-de-chaussée.
M. Augé Inspecteur des Dispensaires de l'Aube est nommé directeur fin 1931.
Il donnera sa démission avant même son entrée en fonction.
C'est M. Lacombe qui prendra le poste.

1933
Ouverture du premier pavillon, celui des femmes.
Les cuisines ont fait l’objet d’une attention spéciale. Très modernes pour l’époque elles fonctionnent à l’électricité.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, réfectoire.
La salle à manger.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, salle à manger
Vaisselle et chaises de l'époque.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, le lavoir.
Les cuisines.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, cuisines
Autre vue des cuisines.
Chaque pavillon avait une cuisine, une salle de radiologie et un cabinet dentaire.
Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, cuisines
Préparation des repas.

Le 09 mai, le Conseil Général décide de faire l'acquisition d'un terrain situé à Lez-Fontaine.
Un forage destiné à l'approvisionnement en eau du Sanatorium y sera creusé.
C'est le 09 juin que M. Lacombe procède à l'ouverture du premier pavillon, celui des femmes. Une trentaine de malades y est reçue et les semaines suivantes, le nombre des admissions est progressivement augmenté.
Le bâtiment pour les hommes reçoit à son tour ses premiers pensionnaires vers le mois de juillet.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, château d'eau.
Ce sont des pompes électriques qui refoulent l'eau dans le réservoir de 250 mètres cubes
relié au forage réalisé à Lez-Fontaine via une canalisation en fonte de plus de 3 kilomètres.
Au premier plan, les ateliers de rééducation.

1939
Mme Fernand Carles crée l'association "Les Amis du Sanat" dont le but est d'aider les anciens malades à leur sortie.

1940
Occupation du sanatorium par les troupes allemandes pendant 5 mois.

1953
Construction d’un nouveau pavillon destiné au logement du personnel.
Celle-ci comprend une salle de spectacle attenante au pavillon du personnel.

1970
Après avoir assumé pendant de longues années sa vocation d’établissement de cure,
le Sanatorium est converti en hôpital de type classique, en raison de la récession de la tuberculose.

1975
Ouverture de l’hémodialyse du pavillon A.

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Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, pavillon A.
Le pavillon A.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, pavillon B.
Le pavillon B
Les bâtiments A et B sont réservés aux hommes. Ils mesurent 120 m de long et couvrent chacun 1000 m2.
Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, pavillon C.
Le pavillon C réservé aux femmes mesure 164 m de long et couvre 2400 m2.

Pavillons des malades
Trois pavillons de malades s’échelonnent le long d’une belle route intérieure de 1.500 m. De loin, on aperçoit leur masse claire dont la couleur s’harmonise avec les tuiles patinées des toitures en forte pente. Les pavillons A et B abritent 150 malades hommes chacun, et le C, 200 femmes.
Ces pavillons sont tous trois disposés de façon similaire. Leur aménagement résulte du souci de respecter d’une part, les données médicales les plus modernes, tout en donnant à l’ensemble l’aspect d’un grand hôtel confortable pour ses pensionnaires. Aérés de toutes parts, largement ouverts à la lumière, les locaux ont leur sol carrelé et leurs murs enduits de peintures coquettes et lavables. Le chauffage électrique est réalisé au moyen de radiateurs à accumulation.
Les dortoirs sont de trois lits ; il existe, en outre, des chambre à un lit (84 sur un total de 500 lits). Les chambres de trois lits sont groupées par deux et placées de chaque côté d’un vestibule formant lui-même salle de toilette comportant six lavabos.
A chaque étage, se trouve une installation de bains et de douches. Chaque pavillon a un fonctionnement autonome et possède tout l’outillage nécessaire au diagnostic et au traitement des tuberculeux pulmonaires. Il a ses services médicaux : bureau de médecin, salles de radiographie, de pneumothorax, d’actinothérapie et d’oto-rhinolaryngologie, de bronschoscopie, cabinet dentaire, laboratoire.
Un service chirurgical commun, aux trois pavillons, fonctionne avec la collaboration d’un Chirurgien, Professeur à la faculté de médecine de Lille. On trouve encore, dans chaque pavillon, des cuisines entièrement électrifiées et munies d’une chambre froide, un réfectoire net et accueillant, une salle de réunion, transformable suivant les heures en : salle de jeux, salon de correspondance et de lecture, salle de cinématographie et même en chapelle, grâce à l’ouverture d’une sorte de bungalow enfermant un autel et tous les accessoires du culte.
Les galeries de cure, situées de part et d’autre de chaque pavillon, sont orientées au sud. Elles sont dotées de haut-parleurs pour permettre l’audition de concerts radiophoniques. Pour combattre l’ennui qui guette à chaque instant le malade, tout a été mis en œuvre : parterres de fleurs devant les pavillons, jeux de plein air ou de salon, bibliothèque, conférences, télévision, séances de cinéma, sonore passant chaque semaine un programme complet : actualités, documentaire, grand film. Des pièces et concerts sont, en outre, donnés par les malades eux-mêmes et assez fréquemment, des troupes d’amateurs ou de professionnels acceptent de venir au Sanatorium pour donner des séances de théâtre, de prestidigitation ou de chants.
Pour terminer cette brève notice descriptive, il convient de signaler, enfin, les habitations des médecins-adjoints et du Médecin-Directeur.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, salle de radiologie.
Salle de radiologie.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, Salle d'examen du pneumothorax.
Salle d'examen du pneumothorax

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, salle d'opération.
Salle d'opération.

1991
Inauguration de la balnéothérapie (dont les travaux ont débuté en septembre 1989) par M. Bruno Durieux,
Ministre chargé de la santé. La rénovation des pavillons B et C s’envisage et une proposition est faite pour installer une unité de post-cure d’alcoologie dans le pavillon B.
Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, balnéothérapie.


1992
Inauguration du centre médico-diététique.
Visite du Professeur Christian Cabrol, sommité française de la chirurgie cardio-vasculaire.

1993
Direction, départ de M Jean Claude Decagny remplacé par M. Philippe Debooser (intérimaire)

1994
Le 24 octobre, passation de pouvoir entre M. Philippe Debooser (à droite)
et M. Roger Matraja (à gauche) à la tête de l'établissement.
Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies,


1995
Début de la rénovation du bâtiment B qui accueillera deux nouveaux services:
la post-cure d'alcoologie
et la Maison d'Accueil Spécialisé (MAS).

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, association
Les anciens patients du service Médico-Diététique décident de créer une association
pour venir en aide à tous ceux qui ont des problèmes de poids. L'association s'appelle "KparK".


1996
Premier Téléthon au sein de l’hôpital.

1997
Une maison d'accueil spécialisée est créée. Son activité est maintenant totalement centrée sur les soins de suite. Aujourd'hui, il dispose de 326 lits.

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Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, atelier de menuiserie
L'atelier de menuiserie.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, atelier de reliure.
Atelier de reliure.

Centre de Rééducation
Le sanatorium Médico-Chirurgical de Felleries-Liessies est, à la fois, un centre de cure hygiéno-diététique, un centre de traitement moderne de la tuberculose pulmonaire et un centre de post-cure.
Le centre de Rééducation est administrativement inclus dans le Sanatorium. Il vise à réintégrer le malade dans la vie sociale en lui redonnant un métier compatible avec son état de santé.
Il comprend les sections suivantes : Pour les hommes : Menuiserie, Electricité, Radio-électricité, Reliure, Cordonnerie, Entretien Sanitaire.
Pour les femmes : Enseignement Ménager (Coupe, Couture, Cuisine).
Pour les deux sexes : Enseignement général – Dactylographie (à compléter prochainement par des cours de Sténographie).
Ce centre détermine, après examen psycho-technique, pour chaque malade en état de travailler, son aptitude au travail, son aptitude au travail, le rendement qu’il est capable de fournir, et le rééduque progressivement sous contrôle médical. Les stages d’études sont sanctionnés par un examen visant à obtenir le «Certificat de Formation Professionnelle pour Adultes», délivré par le Ministère du Travail.
Réadaptation
Parallèlement à la Rééducation, la réadaptation à l’effort est pratiqué dans les services du Sanatorium. Les malades y sont soumis à une reprise d’activité progressive avant leur sortie de l’Etablissement.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, crachoirs


Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, balance.
Balance Testut.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, microscope.
Microscope.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, Appareil à pneumothorax artificiel 1933.
Appareil à pneumothorax artificiel 1933.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, instruments opérations
Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, seringues.
Seringue de pleuro-laveur pour le lavage de la plèvre
dans les infections pulmonaires
Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, alambique.
Alambique pour la préparation des alcoolats
et des sirops
Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, appareil de mesure.
Appareil à pneumothorax artificiel (incomplet)

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, instruments d'opération.
Matériel de chirurgie.

1998
Inauguration du service de post-cure d'alcoologie dit le "CAP"
et de la Maison d'Accueil Spécialisée (MAS).
Première opération "Lire en fête" au sein de l'hôpital.

2000
Signature du contrat d'objectifs et de moyens.

2001
Début des travaux du pavillon C

2002: L’Hôpital Départemental de Felleries-Liessies a satisfait à la procédure d’accréditation par l'ANAES (Agence Nationale d’Accréditation et d’Evaluation en Santé). Départ du service d'hémodialyse vers le Centre Hospitalier de Sambre-Avesnois. Visite de Monseigneur François Garnier, Archevêque de Cambrai.

2003
Inauguration du pavillon C et ouverture de l'hôpital de jour.

2004
Acquisition d'un appareil d'isocinétisme.

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Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, matériel chirurgical.
Matériel médical.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, matériel de laboratoire
Matériel de laboratoire.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, fioles.
Fioles de mesure.

2008
L’Hôpital Départemental de Felleries-Liessies a été certifié par la HAS (Haute Autorité de Santé).

2009
Inauguration de plus de 2000m², avec notamment un hôpital de jour dédié à la cancérologie et une unité de néonatologie. L’hôpital se dote d’une nouvelle entrée située "Chemin des Quatre Chemins" et de nouveaux emplacements de parking.

2011
Le 3 octobre 2011, ouverture d'un service de court séjour de soins en toxicomanie dit "L'OASIS".

2015
Ouverture de la nouvelle Maison d'Accueil Spécialisée avec une capacité de 60 places.

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Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, lits.
Lit, chaise et table de chevet d'époque.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, chambre.
Chambre à trois lits.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, solarium.
Les galeries faisant office de solarium et les chambres étaient orientées plein sud pour un ensoleillement maximal.
Le sanatorium comprenait 500 lits (300 pour les hommes et 200 pour les femmes).
Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, chaise de cure.
Chaise de cure
Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, haut-parleur.
Haut parleur qui diffusait de la musique symphonique pendant les cures.
Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, lavabos.
La toilette était intégrale et journalière. Elle se faisait entièrement nus et sous surveillance.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, compresses.
Tambours pour compresses stériles.
Matériel pour lavements.
Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, documentation.
Revues traitant de la tuberculose.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, plateaux.
Plateaux pour les injections.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, civière.
Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, entrée du sanatorium.
Entrée, Services Généraux

Lorsque le visiteur pénètre dans la propriété en venant de Solre le Château, il rencontre, sur sa gauche un poste de transformation où, sur 3 lignes, arrive sous 45.000 V, le courant électrique alimentant le Sanatorium entièrement électrifié ; un groupe de 6 habitations occupées par les maîtres ouvriers ; une salle d’attente pour abriter les malades et leurs familles qui attendent l’autobus ; une école très coquette pour les enfants du personnel et enfin le pavillon de la concierge. Face à l’entrée, au-delà des pelouses où des parterres à la française, jettent l’été une note riante, le pavillon d’Administration. Plus loin, la buanderie et les services de désinfection. Enfin, au-delà, a été édifié, en 1950, le Centre de Rééducation dont l’intérêt sera souligné plus loin.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, plateau à seringues.


Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, seringue-sonde.


Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, Oscillomètre sphygmométrique
Oscillomètre sphygmométrique du Professeur Pachon

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, stérilisateur.
Stérilisateur Opinel
Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, malette atomisor
Inhalateur.

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, Table pour examen du pneumothorax
Table pour examen du pneumothorax

Musée du Sanatorium de Felleries-Liessies, vestibule
Vestibule des pavillons.


Source : Hôpital Départemental de Felleries-Liessies



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